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enclenchée

14 avril 2004

vais arrêter d'écrire sur cela. parce ke ds

vais arrêter d'écrire sur cela. parce ke ds kkjours j'aurai plus de pc, petite brèche vers la tuerie de l'ennui. parce ke je faisais cela pour, je sais pas. c trop m'écrire à moi mm parce ke pa de commentaire, juste déchet. erreur et déchet. je déverse des mots qui ne reçoivent pas de regards. ss nourriture les mots se fânent et disparaissent. puis, je sais pas. suis perdue ds la vie, autant ne plus m'aider moi mm ms carrèmen me sauver de ma propre personne, ss doute sa passe par la mort,. ms c dun courage lâche insoupçonné, d'une lâcheté courageuse insoupçonnable. on détecte pas la vie, on la sent et la souffre. souffrir, ça a plus de sens, sa na ke des vides. une structure c des murs, qui rejettent une balle, qd la structure disparait, la balle cesse de rebondir, elle touche le sol, encore qqfois, ms ensuite elle s'écoule et devient le sable du temps qui étouffent ceux à l'intérieur, sous le mont de sable. la balle, glisse, roule, éperdue, éprouvée par les creux des chemins, les cailloux,. elle va bientôt tomber dans une lourde flaque. dans un endroit où elle sera prisonnière. la fin de la "ball-ade".

 

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8 avril 2004

peau


peau qui s'effiloche presque.

hier soir, crise d'angoisse, comme tous les débuts de nuits maintenant, tout le monde s'écarte, deviens presque schizophrène, chacun m'en veut, j'en veux à personne, j'en veux à tout le monde. biensûr l'est pas eu au téléphone, esayée de parler à une absente s'est difficile, surtout une absente qui vous ignore. elle n'est pas morte, non, mais moi je le suis presque. ai trouvé un moyen de calmer mes angoisses hier soir,. j'ai pas vraiment une famille, alors j'ai des amis, et quand l'un des pilliers de ce beau mot que j'avai construit de mes mimines se brise, presque volontairement, le monde s'écroule. il suffit d'une faille dans des fondations pour tout faire tomber. j'ai mal en permanence de savoir qu'elle m'a trahi. voudrai ne plus avoir à me supporter. ne plus devoir supporter ma mère également. les mères sont parfois plus folle que les pères, proche de l'hystérie, et à certains moments légumes.

ma peau s'effiloche, je tombe malade, gorge. tout ce que je ne peux dire reste coincé, là.

7 avril 2004

give up

abandon, don dévié, je suis entrain de mourir parce que certaines personnes m'ignorent, sur-tout une. sa me rend dingue, elle s'en fout. j'ai donné et maintenant .....rhaaaaa putin, je l'appelle on verra ce qui ira encore moins. mais y'es tard, rhaaaaaa men fou. c'est ça ou je me suicide.

 

7 avril 2004

je suis sans doute silencieuse parce que je suis

 

 

 

 

je suis sans doute silencieuse parce que je suis morte

l'intérieur de mon crâne est douleur

sensation

douleur

sont le

je

et le

moi

le plancher est bas

il

ne reçoit que des pieds

presque uniquement des pieds

un écrasement infinie

peut-être que lorsque l'on ne fait pas de bruit on souffre

on ne souffre pas pour les autres

les plaintes évacuent

mais c'est par un débit trop faible, et le son, la parole et les mots frappent d'ignorance

ne font mal que dans le cercle de la proximité

si je bouge le bras

une boule comme celle d'un flipper se jette alors vers ma colonne

puis delà, en rebondissant elle atteint ensuite mon crâne et son écoulement d'explosions continues,

 comme un sablier de sang vidant une plaie quelconque

ms la boule est malsaine

de ma colonne a ma tête

elle choisit de faire mal un peu plus

et lance dans mon cou des jets de maux

si je ne bouge pas peut-être juste en apparence, on croirait que la boule n'existe pas

mais c'est presque pire

elle roule sur place elle s'est multipliée

à tout ces endroits elles existent et s'animent

pourquoi j'ai mal,

qui se nourrit de moi de cette façon, qui m'aspire à la paille

de quoi suis-je punis

et si ce n'est pas une punition,

à quoi cela sert ?

et si c'est insensé

où se place la mort ?

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